Critique : Thor
On connaît la marque de fabrique des films Marvel à savoir un héros populaire, de l’humour, de l’action, de la romance. Thor is born !
On connaît la marque de fabrique des films Marvel à savoir un héros populaire, de l’humour, de l’action, de la romance. Thor is born !
Je lance le jeu et je tombe sur la cinématique d’intro vue des milliards de fois sur le net. On y voit les combats entre Wolverine et Ryu.
Pas mauvais mais il m’a gavé avec les multiples allées et retour, des puzzles de merde et un gardien con comme une branche.
On commence la saison 2 de V avec un peu d’enthousiasme vu le final de la saison dernière. Mais très vite l’ennui…
Un film sur la déchéance d’une star servie par une exceptionnelle Gwyneth Patrow. Le film tord le cou aux clichés du genre.
Étant donné la fin un peu alambiquée de Source Code, j’ai jugé bon d’écrire un article pour faire part de mon ressenti et des mes hypothèses.
Duncan Jones prend de plus en plus de l’ampleur. Celui qu’on appelait le fils à David Bowie commence à se dégager de l’ombre du père.
Plus proche de l’addon que d’un vrai Killzone 3. Mais on ne boudera pas notre plaisir de continuer les aventures de Sev et Rico.
Sans jamais faire la morale, sans jamais tomber dans les chemins routiniers, J’ai rencontré le Diable est une histoire de vengeance rare.
Vaut mieux se retourner vers un Hero ou encore le récent Les Trois Royaumes (surtout la version longue) pour bénéficier d’un bon film épique.