Critique : Quartet
Une comédie anglaise offerte par des seniors mais pas uniquement réservée pour eux. Un bonbon agréable à sucer.
Une comédie anglaise offerte par des seniors mais pas uniquement réservée pour eux. Un bonbon agréable à sucer.
Encore une journée de merde pour John McLane mais une charmante perspective pour nous malgré un quatrième opus loin d’être convaincant.
Un énorme dilemme se pose: comment donner un second souffle à cette saga dont le deuxième épisode manquait sincèrement d’innovations ?
Spring Breakers est un film avec beaucoup de sensibilité mais plombé par des actrices moyennes. Heureusement, il y a un grand James Franco.
Lorsque j’appris qu’ils allaient adapter Les Misérables, ma réaction fut : pfff, ces américains… Mais bon, il s’agit de la comédie musicale.
Après une première adaptation avec Sylvester Stallone ayant acquis au fil du temps le statut de nanar sympathique, The Law is back!
« Nous sommes tous des équilibristes. Il suffit d’un coup de vent… et c’est le vide ». Un drame révélateur de la fragile condition humaine.
Dante est de retour… mais pas celui qu’on connaît. C’est un gamin à peine sorti de l’adolescence qui se présente face à nous.
Une mini-série sympa à suivre mais souffrant de beaucoup de défauts l’empêchant d’accéder à un meilleur statut.
Cloud Atlas est la promesse d’un chef d’œuvre de SF et peut-être même en devenir un nouveau jalon à la manière de 2001, l’odyssée de l’espace.