Critique : Minuit dans l’univers
La bande-annonce laissait espérer une aventure spatiale ambitieuse. Le résultat est surtout plombé par un rythme monotone.
La bande-annonce laissait espérer une aventure spatiale ambitieuse. Le résultat est surtout plombé par un rythme monotone.
On abandonne le découpage en mode table ronde / plusieurs épisodes pour un making-of classique d’une heure. C’est amplement suffisant.
Un bon film m’ayant marqué par son propos adulte (le Pixar le plus mature jusqu’ici) et sa représentation du monde abstrait.
Le Blues de Ma Rainey fait partie de la liste des films préférés de Barack Obama en 2020 et c’est mérité. Mention spéciale à Boseman.
Après une entrée en fanfare dans mon cœur via sa première saison, The Mandalorian l’a totalement ravi sur cette deuxième.
Comment répondre à une problématique de plus en plus inquiétante du fait de la taille prise par l’Univers Cinématographique Marvel.
Purée, les annonces de Disney, cette année, c’est comme le ketchup. On presse, on presse, puis tout sort d’un coup, nous éclaboussant.
Malgré une histoire classique, le charme de Marraine ou presque m’a envoûté. En grande partie, grâce à une délicieuse Jillian Bell.
Dans Mank, Louis Mayer dit qu’une bonne œuvre doit prendre à la tête, au cœur et aux couilles. David Fincher en touche deux sur trois.
Entouré d’une désastreuse réputation, le film Disney réadaptant La Ballade de Mulan sort directement sur Disney+ et j’ai plutôt bien aimé.