Critique : The Good Place (2016 – 2020)
The Good Place est une véritable petite pépite dans le registre de la comédie, autour d’un sujet original traité de manière intelligente.
The Good Place est une véritable petite pépite dans le registre de la comédie, autour d’un sujet original traité de manière intelligente.
Sous la Seine vaut surtout pour l’excellent sens du timing de sa sortie. Autrement, il n’y a pas grand-chose à sauver de ce nanar.
Atlas donne l’impression de regarder un film d’action SF un peu nanardesque des années 90 comme Judge Dredd ou Universal Soldier.
Avec The Gentlemen, Guy Ritchie adapte son meilleur film récent en série télévisée. Bref, un régal si l’on est fan du bonhomme.
Pas de nouvel épisode de X-Men ’97 cette semaine, mais un making-of fleurant bon la nostalgie. Bref, digne de la série.
Pour sa troisième saison de Clarkson à la ferme, Jeremy est confronté aux porcs et aux pénis de l’espace. Bref, c’est toujours aussi drôle.
Après la série The Last of Us, les jeux vidéo ont une nouvelle adaptation très réussie en la personne de Fallout.
La suite de la série X-Men des années 90 réussit le pari de faire suite en modernisant le style sans jamais le renier.
Un nouveau concept auquel j’ai particulièrement adhéré. En gros, c’est un The Voice chez les comiques qui va droit à l’essentiel.
City Hunter, incompréhensiblement traduit en Nicky Larson par Netflix, est une adaptation fort sympathique grâce à un énorme Ryohei Suzuki.