Critique : X-Men ’97 – Saison 1
La suite de la série X-Men des années 90 réussit le pari de faire suite en modernisant le style sans jamais le renier.
La suite de la série X-Men des années 90 réussit le pari de faire suite en modernisant le style sans jamais le renier.
Un nouveau concept auquel j’ai particulièrement adhéré. En gros, c’est un The Voice chez les comiques qui va droit à l’essentiel.
City Hunter, incompréhensiblement traduit en Nicky Larson par Netflix, est une adaptation fort sympathique grâce à un énorme Ryohei Suzuki.
Et si l’on avait un Game of Thrones au Japon ? L’adaptation par la FX du roman Shōgun de James Clavell répond à cette question.
Née de la sitcom Seinfeld, la série Larry et son nombril nous fait suivre les hilarantes mésaventures d’un misanthrope.
La saison 1 de Bienvenue à Wrexham était déjà excellente, mais celle-ci la surpasse tout en ajoutant une flopée d’épisodes mémorables.
Une deuxième saison pour la pépite Extraordinary, ce n’est que du bonheur. D’autant plus qu’elle est aussi réussie que la première.
Road House cuvée 2024 est un film où il est surtout question de bagarre. Du coup, on va avant tout le voir pour les phases de bourre-pifs.
Un produit Netflix misant avant tout sur Millie Bobby Brown. Bref, un truc calibré où l’histoire peine à convaincre.
Oscarisé pour le meilleur scénario adapté, Fiction à l’américaine est une comédie noire maligne et pleine de mordant.