Critique : La Mission
Pas un grand western, néanmoins une histoire sympathique, même si respirant le déjà-vu, menée par un joli duo Tom Hanks / Helena Zengel.
Service de vidéo à la demande créé en 1997 par Reed Hastings et Marc Randolph.
Pas un grand western, néanmoins une histoire sympathique, même si respirant le déjà-vu, menée par un joli duo Tom Hanks / Helena Zengel.
J’étais tellement persuadé que c’était une daube que je m’étais préparé à écourter la séance au plus vite. Impossible. Je me suis fait pécho.
Je m’attendais à une petite aventure spatiale sympathique. J’ai eu plus que ça avec carrément un énorme coup de cœur.
L’ensemble est si ridicule et surjoué que ça a fait mouche chez moi. Typiquement, le genre de films que j’aurais regardé en boucle à huit ans.
Zone hostile est excitant. Les scènes d’action sont bien emballées sur un sujet intéressant. Puis tout part en couilles. Totalement.
En toute franchise, je m’attendais à un truc moyen. C’est agréablement surpris que j’ai découvert une série superbement rythmé.
La saison de trop ? Je me pose la question tant cette troisième partie de Cobra Kai peine à se renouveler.
Une rétrospective sur l’année 2020 par les créateurs de Black Mirror sous forme de documenteur. Voilà une idée qui retient l’attention.
La bande-annonce laissait espérer une aventure spatiale ambitieuse. Le résultat est surtout plombé par un rythme monotone.
Le Blues de Ma Rainey fait partie de la liste des films préférés de Barack Obama en 2020 et c’est mérité. Mention spéciale à Boseman.