Critique : Love and Monsters
Je m’attendais à une comédie horrifique plus réussie dans sa partie comédie romantique que dans l’horreur, mais c’est l’inverse qui se passe.
Service de vidéo à la demande créé en 1997 par Reed Hastings et Marc Randolph.
Je m’attendais à une comédie horrifique plus réussie dans sa partie comédie romantique que dans l’horreur, mais c’est l’inverse qui se passe.
Si le pitch m’avait excité, j’aurais dû me renseigner plus, car il s’agit d’une réalisation de Melissa McCarthy avec son mari Ben Falcone.
Après quelques déboires du côté du DCEU, Zack Snyder revient à son premier amour, L’armée des morts, en lui donnant un spin-off.
Malgré un début prometteur et une Rosamund Pike façon Gone Girl comique, plus on avance dans I Care a Lot, plus ça devient n’importe quoi.
Pas un grand western, néanmoins une histoire sympathique, même si respirant le déjà-vu, menée par un joli duo Tom Hanks / Helena Zengel.
J’étais tellement persuadé que c’était une daube que je m’étais préparé à écourter la séance au plus vite. Impossible. Je me suis fait pécho.
Je m’attendais à une petite aventure spatiale sympathique. J’ai eu plus que ça avec carrément un énorme coup de cœur.
L’ensemble est si ridicule et surjoué que ça a fait mouche chez moi. Typiquement, le genre de films que j’aurais regardé en boucle à huit ans.
Zone hostile est excitant. Les scènes d’action sont bien emballées sur un sujet intéressant. Puis tout part en couilles. Totalement.
En toute franchise, je m’attendais à un truc moyen. C’est agréablement surpris que j’ai découvert une série superbement rythmé.