Critique : WandaVision – E3 « On passe à la couleur »
Les choses s’accélèrent. C’est ce qu’on peut retenir de cet épisode de WandaVision à l’aspect sitcom moins prononcé.
Service de vidéo à la demande créé par la Walt Disney Company avec ses quatre filiales Pixar Animation Studios, Marvel Studios, Lucasfilm et National Geographic.
Les choses s’accélèrent. C’est ce qu’on peut retenir de cet épisode de WandaVision à l’aspect sitcom moins prononcé.
On ne nous avait pas menti. Avec WandaVision, Marvel Studios a bien l’intention d’offrir un voyage déroutant dans le MCU.
On abandonne le découpage en mode table ronde / plusieurs épisodes pour un making-of classique d’une heure. C’est amplement suffisant.
Un bon film m’ayant marqué par son propos adulte (le Pixar le plus mature jusqu’ici) et sa représentation du monde abstrait.
Après une entrée en fanfare dans mon cœur via sa première saison, The Mandalorian l’a totalement ravi sur cette deuxième.
Comment répondre à une problématique de plus en plus inquiétante du fait de la taille prise par l’Univers Cinématographique Marvel.
Purée, les annonces de Disney, cette année, c’est comme le ketchup. On presse, on presse, puis tout sort d’un coup, nous éclaboussant.
Malgré une histoire classique, le charme de Marraine ou presque m’a envoûté. En grande partie, grâce à une délicieuse Jillian Bell.
Entouré d’une désastreuse réputation, le film Disney réadaptant La Ballade de Mulan sort directement sur Disney+ et j’ai plutôt bien aimé.
Je m’attendais à m’endormir comme devant Les chroniques de Noël 2. Finalement, je me suis surpris à rire et à lâcher une petite larme.