Critique : Homeland – Saison 2
Après une première saison décevante car trop prévisible, la série Homeland décolle avec cette deuxième saison.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Après une première saison décevante car trop prévisible, la série Homeland décolle avec cette deuxième saison.
Qui est cette créature à crête avec un haut rouge essayant de se raser avec un flingue tout en étant accroupi à côté d’un mec enterré ?
Une comédie romantique à l’américaine classique mais sympathique, sorte de cousin cinématographique de Glee.
Tom Cruise de Nazareth a ressuscité à l’occasion de la sortie de Mission : Impossible – Protocole fantôme et il continue avec Jack Reacher.
Le nœud coulant se resserre autour du cou de Dexter et la chaise, l’empêchant de basculer dans le vide, devient de plus en plus branlante.
Après la déception des deux addons d’Assassin’s Creed 2, Ubisoft semble vouloir marquer un gros coup avec ce troisième épisode.
Un portrait d’une famille dévorée par le cancer de l’argent. Une bonne idée si la narration n’était pas aussi asthmatique.
Je vous préviens, la critique qui va suivre ne sera pas élogieuse, au contraire même, elle va… comment dirais-je… noyer le film.
Entourage est inspirée de la vie de Mark Wahlberg où on suit un groupe de quatre potes propulsés dans les plus hautes sphères d’Hollywood.
Après un très bon Bons Baisers de Bruges, le réalisateur Martin McDonagh revient avec sept malades mentaux.