Critique : La Tour Sombre
Le projet d’adaptation au cinéma de La Tour Sombre a débuté, il y a une décennie de ça. Après moult abandons, il sort enfin sur nos écrans.
Le genre « science-fiction » transporte les spectateurs vers des mondes futuristes, explorant les avancées technologiques et les questions philosophiques.
Le projet d’adaptation au cinéma de La Tour Sombre a débuté, il y a une décennie de ça. Après moult abandons, il sort enfin sur nos écrans.
La déception procurée par L’Affrontement étant encore vivace, c’était avec crainte que je guettais La Planète des Singes: La Suprématie.
J’avais quitté Nacho Vigalondo sur un très bon Timecrimes et ses délires de voyage dans le temps. Je le retrouve avec Colossal.
Civil War avait permis de découvrir un jeune et fringuant Spider-Man flanqué d’une superbe Tante May. Homecoming offre de le connaître.
Après Snowpiercer, Bong Joon-ho revient avec l’histoire d’une amitié entre une fille et un… super-cochon. Plus profond qu’il n’y parait.
Gru est de retour dans un nouveau costume, celui d’espion. Et il a un Joker digne de lui en la personne de Balthazar Bratt.
Mickael Bay fait un retour plutôt raz-de-marée en VFX, et un scénario mal cousu qui n’empêche pas d’apprécier les Transformers.
Wonder Woman fait rêver en apparence. Mais malheureusement, il n’est pas assez convaincant pour conclure que c’est un bon film.
Comme d’habitude, je serais avec franc avec toi, lecteur. Je vais donc devoir nager à contre-courant avec ma critique de Wonder Woman.
Alien : Covenant a réussi à entretenir une zone de flou hallucinant. Je ne savais pas si c’était une suite de Prometheus ou un nouvel Alien.