Critique : Stranger Things 2
Strangers Things 2 marque une évolution à la Aliens en nous livrant un nouveau monstre vraiment stylé. Mais le cœur du show est inchangé.
Le genre « science-fiction » transporte les spectateurs vers des mondes futuristes, explorant les avancées technologiques et les questions philosophiques.
Strangers Things 2 marque une évolution à la Aliens en nous livrant un nouveau monstre vraiment stylé. Mais le cœur du show est inchangé.
Thor: Ragnarok est une baffe à l’image des Gardiens de la Galaxie. Le meilleur des Thor et le haut du panier des Marvel Studios. Il a tout.
Donner suite à un monument de la SF relève du pari risqué. Seulement, c’est Denis « Premier Contact » Villeneuve qui s’y colle.
Guardians est le film russe de super-héros OGM très prometteur qui, malgré un flop au box-office, mérite qu’on y jette un œil.
Je l’attendais comme l’apothéose des séries Marvel/Netflix, mais finalement, The Defenders se révèle être la série que j’ai le moins aimé.
Le projet d’adaptation au cinéma de La Tour Sombre a débuté, il y a une décennie de ça. Après moult abandons, il sort enfin sur nos écrans.
La déception procurée par L’Affrontement étant encore vivace, c’était avec crainte que je guettais La Planète des Singes: La Suprématie.
J’avais quitté Nacho Vigalondo sur un très bon Timecrimes et ses délires de voyage dans le temps. Je le retrouve avec Colossal.
Civil War avait permis de découvrir un jeune et fringuant Spider-Man flanqué d’une superbe Tante May. Homecoming offre de le connaître.
Après Snowpiercer, Bong Joon-ho revient avec l’histoire d’une amitié entre une fille et un… super-cochon. Plus profond qu’il n’y parait.