Critique : Il était temps
Les Anglais sont fortiches niveau comédie romantique. Alors quand un de ses plus grands noms en fait un, visionnage obligatoire !
Les Anglais sont fortiches niveau comédie romantique. Alors quand un de ses plus grands noms en fait un, visionnage obligatoire !
Pour Only Lovers Left Alive, Jim Jarmush réunit le dieu Loki et l’extra-terrestre Tilda Swinton pour un truc surfant sur Twilight façon indé.
Pas une comédie romantique, mais le journal d’un accro au porno. Don Jon fait partie de ces films si surprenants donc jubilatoires.
L’affiche me subjuguait. Voir ces deux grands acteurs jouer deux amoureux transis que la police sépare me donnait des élans de romantisme.
Tina Fey est une grande actrice comique américaine, elle s’est démarquée grâce au SNL et sa sitcom 30 Rock. Fan, j’ai donc maté Admission.
Paul Andrew Williams s’est distingué avec des films d’horreur. Le voir signer un feel-good movie a de quoi surprendre…
Baz Luhrmann, c’est Roméo + Juliette, Moulin Rouge et Australia. Cette fois-ci, il retourne à ses premiers amours : une adaptation et Leo.
Et si le meilleur film de l’année venait de Belgique ? Je ne savais pas trop quoi à m’attendre avec Alabama Monroe.
Révélé par Tous les garçons aiment Mandy Lane, Jonathan Levine est désormais dans le vent et son nouveau projet a tout pour plaire.
Splendide visuellement, Upside Down souffre d’un background pas assez étoffé et de nombreuses incohérences.