Critique : L’ange du mal
L’Ange du Mal souffre de sa comparaison du précédent long-métrage de Michele Placido toutefois il reste un bon film de gangster.
Le genre « policier » plonge les spectateurs dans des enquêtes captivantes, des mystères à résoudre et des intrigues remplies de suspense.
L’Ange du Mal souffre de sa comparaison du précédent long-métrage de Michele Placido toutefois il reste un bon film de gangster.
Comédie musicale, policier noir, burlesque, répliques cultes, sens du rythme, acteurs formidables. Tout ça, c’est The Big Lebowski.
Décidément notre cher Jason a laissé tomber le secteur de l’actionner ayant fait sa gloire pour se tourner vers le thriller.
Transposer la mécanique de GTA avec un soupçon de Point & Click dans un film noir était évident mais il fallait y penser.
Le premier bénéficiait d’un Vin Diesel au sommet de sa forme, le deuxième était moyen en effet sans Vin, c’était un peu faire Rambo sans Sly.
À sa sortie, le film a remué les foules. Je me rappelle l’avoir visionné sur ma petite télé dans ma chambre avec une antenne pourrie.
L’Australie nous offre un excellent drame prenant partie non pas pour des gangsters, ni des flics mais un enfant au milieu de cette guerre.