Critique : Le cochon de Gaza
Alors qu’aujourd’hui, on sera fixé sur le sort de la Palestine, cette semaine a été aussi marquée par ce contexte.
Alors qu’aujourd’hui, on sera fixé sur le sort de la Palestine, cette semaine a été aussi marquée par ce contexte.
Un excellent comic qui joue sur nos fantasmes et les assouvit (une fois n’est pas coutume). Un achat indispensable pour les fans.
Devant une telle œuvre, on se prend à rêver d’une adaptation cinématographique tellement le matériau s’y prête.
En revisitant le mythe de Roméo et Juliette, Gus Van Sant nous livre un film touchant et sensible doté d’une belle réflexion face à la mort.
Un album qui conserve tous le charme des productions Margerin. Quel régal de revoir la bande à Lulu et ces histoires courtes très drôles.
L’émotion est le cœur du film grâce à un trio d’acteurs exceptionnels Hardy/Edgerton/Nolte. Sans oublier, des combats dantesques.
Quentin Dupieux met en scène avec brio (pour ma part) la folle aventure aux aspects comique et horrifique de ce pneu tueur.
Un album en déça de son prélude mais conservant quand même quelques très bonnes idées et des blagues toujours délirantes.
Fright Night n’est pas un bon film d’horreur, ni une bonne comédie. L’ensemble manque cruellement de pèche et de folie.
Posé sur un sujet en vogue et difficile sur les droits de l’homme/femme bafoués en Iran, Au revoir se plante.