Critique : Severance – Saison 1
Severance. Une série sortie de nulle part justifiant, à elle seule, le fait de prendre un abonnement d’un mois sur Apple TV+.
Severance. Une série sortie de nulle part justifiant, à elle seule, le fait de prendre un abonnement d’un mois sur Apple TV+.
Heureusement qu’il y a le génie d’Edgar Wright pour remonter le niveau d’un Last Night in Soho tiré par le bas à cause de son histoire.
The Batman n’arrive que partiellement à répondre à ses promesses. La faute à une intrigue désespérément prévisible et respirant le déjà-vu.
Un thriller hollywoodien dont l’intérêt repose sur ses nombreux twists. Pas toujours crédible, mais irrémédiablement fun.
Une deuxième saison dans la lignée de la première. Ni plus, ni moins. Les qualités sont là, tout comme les défauts.
Avec sa conclusion, la série Hawkeye confirme tout le bien que j’en pensais. Pour tout dire, c’est même ma série Marvel Studios préférée.
Cet épisode prend le soin de faire la liaison avec le film Black Widow tout en introduisant un événement de taille.
Plus posé que l’épisode précédent, histoire de préparer la suite, mais pas anecdotique. La série Hawkeye ne cesse pas de me ravir.
Quelle claque, cet épisode. Entre Maya « Echo » Lopez et ses deux scènes d’action sans oublier sa représentation de la surdité.
Ce deuxième épisode confirme tout le bien que je pense de la série avec un duo Clint Barton et Kate Bishop faisant des étincelles.