Critique : Ave, César!
Dernier épisode de la Trilogie des Idiots, Ave, César! remonte le temps pour plonger dans l’âge d’or d’Hollywood avec un tas d’idiots.
Dernier épisode de la Trilogie des Idiots, Ave, César! remonte le temps pour plonger dans l’âge d’or d’Hollywood avec un tas d’idiots.
Sherlock n’était pas le seul britannique à revenir durant cet hiver. Il y avait aussi son collègue, John Luther.
Après un exceptionnel démarrage, True Detective était attendu au tournant. Finalement, la deuxième saison est moins bonne.
Sur la critique de Daredevil, un certain Kurt Bunker m’avait conseillé de voir Banshee, surtout si j’avais aimé la série Marvel. Voyons ça.
Pierre Morel, le réalisateur du seul Taken valable, a embarqué avec Sean Penn, Javier Bardem et Idris Elba pour Gunman.
En allant à la rencontre de demain, Epice retrouve son ami Bernard Loiseau et ensemble, ils voguent pour un voyage généreux.
À la poursuite de demain est là pour proposer un blockbuster qui n’est pas une suite, ni un remake et encore moins une adaptation. Je signe.
À la fin de la saison 3, Homeland prend le risque d’exercer un bouleversement majeur dans sa formule. L’occasion de renaître tel le phénix ?
L’histoire, les thèmes et la durée d’Interstellar en font le film le plus ambitieux de Christopher Nolan. Le résultat est à la hauteur ?
Christopher Nolan nous invite pour une nouvelle odyssée dans l’espace, 46 ans après celle de Kubrick, sauf que le temps s’en mêle.