Critique : Housebound
Parfois, en rangeant, on tombe sur un billet de dix euros inattendu. Sur le net, c’est parfois la même chose. Comme avec Housebound.
Parfois, en rangeant, on tombe sur un billet de dix euros inattendu. Sur le net, c’est parfois la même chose. Comme avec Housebound.
Tout s’achève avec l’Apocalypse. Avec un tel sous-titre, tous les fantasmes sont possibles. La saga s’achève-t-elle de façon épique ?
Constantine est la dernière série adaptée d’un comic à faire son apparition pour la rentrée 2014. Critique du pilote.
Personne n’a oublié cette poupée aux yeux de braise dans Conjuring. Du coup, Warner Bros. s’est dépêché de nous pondre un spin off…
L’univers de Guillermo Del Toro dans la petite lucarne, une proposition digne du Parrain, Don Corleone. Oui, vu qu’on ne peut pas la refuser.
Quand Alexandre Aja adapte un roman du fils de Stephen King, je suis au taquet. En plus, Harry Potter avec des cornes.
Scott Derrickson est le futur réalisateur du Marvel, Doctor Strange. On est donc curieux de voir que donne son nouveau long-métrage.
Penny Dreadful est estampillée 007. Elle possède un James Bond, une James Bond Girl et elle est créée par John Logan, scénariste de Skyfall.
Mister Babadook fait une entrée fracassante au panthéon de l’Horreur. Pourtant, sa simplicité ne laissait pas envisager une telle réussite.
En plus d’être le long-métrage des deux gars derrière un segment de V/H/S, The Baby, c’est aussi une promo mémorable.