Critique : Preacher (2016 – 2019)
Au final, que dire de la série télé Preacher ? Qu’il s’agit assurément d’une série comme nulle autre. Une véritable bouffée d’air frais.
Au final, que dire de la série télé Preacher ? Qu’il s’agit assurément d’une série comme nulle autre. Une véritable bouffée d’air frais.
Malgré un excellent départ, Ça: Chapitre 2 part tellement dans le « encore plus spectaculaire » que l’ensemble se pète la gueule.
Avant de commencer ma séance, j’espérais que le monde avait été trop dur avec ce reboot d’Hellboy. Malheureusement, ça n’a pas été le cas.
Crawl est une série B faisant efficacement le taf. J’ai passé un bon moment (au frais) dans un cyclone en compagnie d’énormes alligators.
Pour Stranger Things 3, les frères Duffer délaissent les saisons hivernales pour basculer en été. Un changement permettant la redécouverte.
Et si Superman avait viré vilain ? C’est en partant de ce pitch que Brian et Mark Gunn ont développé Brightburn: L’Enfant du mal.
Cette adaptation du roman de Stephen King, Simetierre, n’en conserve pas l’essence et se révèle être un énième film d’horreur fade.
Jordan Peele réussit à passer la seconde. Moins réussi, à mes yeux, que Get Out, Us reste tout de même largement au-dessus du lot.
Cette anthologie animée calibrée dans un registre fantastique/science-fiction permet de découvrir 18 histoires dont chacune vaut le détour.
Difficile d’être surpris par Velvet Buzzsaw tant les codes du slasher sont respectés. Néanmoins, le film offre un cadre rafraichissant.