Critique : Monuments Men
Difficile de sortir satisfait de la séance de Monuments Men du fait de son sens du rythme parti au soleil avec l’humour et l’émotion.
Le genre « guerre » nous plonge dans des conflits intenses et explore les sacrifices, la camaraderie et les horreurs de la guerre.
Difficile de sortir satisfait de la séance de Monuments Men du fait de son sens du rythme parti au soleil avec l’humour et l’émotion.
Le roi Léonidas et ses 300. Rien qu’en les évoquant, j’ai des frissons. Cette fois-ci, on suit les aventures du grec Thémistocle.
L’adaptation cinématographique de l’Opération Red Wings ayant entraîné l’une des défaites les plus coûteuses de l’armée américaine.
Après l’énorme déception du solo de Battlefield 4, mes espoirs reposaient sur la nouvelle fournée de Call of Duty. Espérances fondées ?
Battlefieeeeeeeld ! Battlefieeeeeeeld ! Il est temps de se faire la gueeeeeerre ! Battlefieeeeeeeld ! Il est temps de tester le solo !
Thor à l’affiche d’un film d’action, on est curieux car la dernière fois, ça avait donné La Cabane dans les Bois, un bijou horrifique.
La saison 3 est terminée. C’est reparti pour un an d’attente. Un an à gamberger. Mais bon, ce n’est pas tout, j’ai une critique à boucler.
Malgré les bugs techniques et une histoire en deçà de celle du premier, cette extension demeure indispensable !
N’allons pas par quatre chemins, Company of Heroes n’est pas un bon film. Est-il un navet ? Oui, il l’est.
Lincoln et Spielberg, c’est une histoire qui remonte à des années. Le papa d’E.T. a toujours été fasciné par le président.