Critique : Jojo Rabbit
Encore une fois, Taika Waititi a réussi son coup en touchant mon cœur avec Jojo Rabbit. Une fable aussi drôle qu’émouvante.
Le genre « guerre » nous plonge dans des conflits intenses et explore les sacrifices, la camaraderie et les horreurs de la guerre.
Encore une fois, Taika Waititi a réussi son coup en touchant mon cœur avec Jojo Rabbit. Une fable aussi drôle qu’émouvante.
L’association entre Sam Mendes et le film de guerre promettait. Au final, je ne retiendrais de 1917 que son impressionnant aspect technique.
Au vu de sa bande-annonce, Overlord était la promesse d’une série B réjouissante et fun. Quel est le verdict de ton serviteur ?
Si t’as été dégoûté par la fin de Braveheart, Outlaw King est pour toi. En effet, le film commence après la fin du film de Mel Gibson.
Alliés est excitant. Il faut dire que voir le duo Brad Pitt/Marion Cotillard sous la houlette de Robert Zemeckis a de quoi passionner.
Quand Mad Mel revient à la réalisation, c’est un évènement. En plus, il livre un film de guerre donnant l’impression d’y avoir été.
Quand le réalisateur de Very Bad Trip décide avec War Dogs de s’offrir son Scarface en se basant sur un fait divers cool, ça peut être fun.
Rien ne vous a préparé à ce dénouement. Woh, rien que ça. Ça en jette. Du coup, faut croire que j’étais suffisamment préparé.
Avant Assassin’s Creed, Justin Kurzel, Michael Fassbender et Marion Cotillard adaptent une pièce de théâtre de Shakespeare.
Avec Beasts Of No Nation, son premier film, Netflix frappe fort. S’il ne s’agit pas d’un chef d’œuvre, c’est néanmoins un film marquant.