Critique : Abraham Lincoln : Chasseur de Vampires
Une grosse purge annoncée avec un trio qui fait mal : figure historique dans histoire de vampire et réalisateur connu pour ses délires.
Le genre « fantastique » nous transporte dans des mondes imaginaires remplis de magie, de créatures étonnantes et d’aventures épiques.
Une grosse purge annoncée avec un trio qui fait mal : figure historique dans histoire de vampire et réalisateur connu pour ses délires.
Même si je n’avais jamais entendu parler de Dylan Dog, son affiche présentant le Superman de Bryan Singer fait envie.
Pour les cinquante ans de l’Araignée (apparue dans l’Amazing Fantasy d’août 1962), Sony nous offre un reboot: The Amazing Spider-Man.
Après la Blanche Neige de Disney, de Tarsem Singh, voici venir la plus sombre. Une relecture adulte du mythe de la plus belle d’entre tous.
On avait fini la saison dernière en paumant Peter comme des vulgaires clés. On a beau demander à l’équipe, personne ne s’en souvient…
Tim Burton livre un film soap opera sympathique dont vous aurez pratiquement tout oublié le lendemain du visionnage.
Tarsem est un homme visuel, privilégiant systématiquement la forme au fond alors on se dit que c’est une bonne idée de reprendre un conte…
Le premier épisode était réalisé par le responsable de L’incroyable Hulk. Un film moyen qui se regardait pour le plaisir.
Encore un film fantastique espagnol ? Ne le dites pas à Yannick Noah, il va les accuser de dopage et c’est Nadal qui va faire la gueule.
Sans aucune surprise, le départ de Nathan fait beaucoup de mal à la série. Les épisodes perdent un peu en saveur.