Critique : John Dies at the End
C’est quoi ce spoiler dans le titre, non mais ils auraient pu faire un effort quand même. Ben si c’est comme ça, je ne le regarde pas.
Le genre « épouvante » suscite la terreur et l’effroi avec des atmosphères angoissantes, des créatures cauchemardesques et des rebondissements terrifiants.
C’est quoi ce spoiler dans le titre, non mais ils auraient pu faire un effort quand même. Ben si c’est comme ça, je ne le regarde pas.
Maniac est une curiosité par son choix d’être entièrement en vue subjective et réussit pleinement sa mission malgré ses quelques défauts.
La saga vidéoludique est un des très rares jeux vidéo capable d’instiller la peur et sa première adaptation a été un beau succès.
Un hommage aux premiers amours de Tim Burton, ces monstres ayant bercé son enfance : Dracula, le loup-garou, Frankenstein et … Gamera !
Un écrivain has-been déménage dans une maison ayant abrité un meurtre affreux et découvre dans le grenier des snuff movies…
Visuellement, c’est magnifique. « Sonoriquement », c’est splendide (VO indispensable). « Bonusiquement », c’est chargé.
Encore un film espagnol sur le genre horreur et comme ses compères, Timecrimes repose sur un scénario à point et un casting aux oignons.
Après Martyrs, le frenchie Pascal Laugier confirme avec The Secret, un film de plus grande envergure avec Jessica Biel.
Par le réalisateur de Torque, la route s’enflamme, difficile de ne pas flipper à l’idée de lancer le blu-ray de Detention.
Avec le film du jour, Jane Eyre, le roman de Charlotte Brontë connaît sa vingtième adaptation cinématographique/télévisuelle.
Même si je n’avais jamais entendu parler de Dylan Dog, son affiche présentant le Superman de Bryan Singer fait envie.
Sorti en catimini au cinéma, After.Life est déjà sorti depuis 2009 outre-Atlantique, un état des faits surprenants.