Critique : Au-delà
Clint Eastwood, ces deux mots me suffisent pour aller voir un film. Au-delà nous propose de suivre trois personnages sur le thème de la mort.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Clint Eastwood, ces deux mots me suffisent pour aller voir un film. Au-delà nous propose de suivre trois personnages sur le thème de la mort.
Lancé à toute vitesse avec l’agression de la famille Shelton, Que Justice Soit Faite chope aux tripes avant de provoquer la consternation.
Sofia Coppola nous fait partager le quotidien d’une star pour démontrer que leurs quotidiens sont loin d’être glamour.
Ce film a mérité son Oscar. J’avoue que j’aurais eu du mal à choisir entre lui et Un Prohète (en mettant de côté tout patriotisme).
A Single Man est un de ces films d’une très grande sensibilité et d’une profonde humanité. Sa vision vous touchera et hantera, un signe des grands films.
Un mauvais Harry Potter dans la même lignée que le précédent. Ne reste plus qu’à espérer une deuxième partie qui se secoue un peu.
Un excellent drame historique ponctué de bons combats et mené par un énorme Donnie Yen. Un must-see. Vivement le 2.
Trois beaux sujet difficiles (l’amour, la famille et la guerre) nous donne un drame intimiste servi par un excellent trio d’acteurs.
Le film arrive à nous passionner avec son duo David Duchovny et Demi Moore attachant et finit de façon surprenante.
Un chef d’œuvre qui nous plonge dans les univers impitoyables d’Harvard et du net tout en évitant tout pathos (vu dans Wall Street 2).