Critique : The Lady
Luc Besson est mort ! Voilà ce que la plupart des cinéphiles proclament à tout va. Une vérité entre guillemets.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Luc Besson est mort ! Voilà ce que la plupart des cinéphiles proclament à tout va. Une vérité entre guillemets.
Dexter s’essouffle, Columbo est mort, Sherlock Holmes est devenu Iron Man, le détective à l’ancienne est une race éteinte.
Il est surprenant de voir un tel film sortir en France surtout au vu de son sujet : les coulisses des clubs de baseball, un sport américain.
La nouvelle déception des studios Ghibli après Arrietty. Décidément, celui qui prendra la suite de Hayao Miyazaki n’est pas son fils.
Un film divisé en deux, d’un côté Walter et le Castor et de l’autre, son fils et Jennifer. Ces deux parties sont inégales.
Difficile de ne pas s’accrocher à une histoire comme celle d’Intouchables. Difficile de ne pas accrocher à ces deux acteurs français.
Un OCNI. A voir au moins une fois dans sa vie pour se faire un avis car c’est tellement rare les films qui font différemment des autres.
Sorti depuis déjà 2008 aux States, Le garçon au pyjama rayé est un film tiré d’un best-seller qui a marqué le monde.
Un requin en plastique a été capable de faire vider les plages, on n’ose imaginer les dégâts que peut produire un tel film.
Les marches du pouvoir est bien réalisé, bien joué et servi par une bonne musique mais souffre d’un scénario convenu.