Critique : Blue Valentine
Le film marque, non le mot est trop faible, il traumatise en nous livrant un portrait sans tabou d’une histoire d’amour.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Le film marque, non le mot est trop faible, il traumatise en nous livrant un portrait sans tabou d’une histoire d’amour.
Une comédie dramatique sympathique qui ravira les filles et ne fera pas trop chier leur compagnon. Le couple Duhamel/Heigl fonctionne.
Un beau film qui repose beaucoup sur la performance de son acteur principal Jeff Bridges. On peut aussi compter sur des belles chansons.
Déjà la septième saison des aventures des femmes au foyer. On a donc partagé beaucoup de choses durant les six précédentes saisons.
Mathew Vaughn ne voulait pas être le gars qui a réalisé le pire épisode de la saga des X-Men. Il a fini par réaliser le meilleur.
Deux films en un, un drame qui enterre sans problème Slumdog Millionnaire et un thriller au twist génial.
Le film commence par un long voyage : une certaine idée du trip métaphysique qui vous fera voyager jusqu’à l’aube de notre planète.
Les premiers épisodes reviennent à une routine typiquement Fringe à savoir des enquêtes très réussis et toujours plus farfelues.
Xavier Beauvois signe un grand film sur des hommes qui ont préféré l’amour. Je comprends mieux la pluie de récompenses.
Califonication n’est pas pour tout le monde. Les prudes du monde entier vont crier au scandale… Le reste va s’éclater comme des petits fous.