Critique : 3 Billboards: Les Panneaux de la Vengeance
Pour signer mon grand retour au cinéma en 2018, j’ai voulu miser sur une valeur sûre. Quoi de mieux que le nouveau Martin McDonagh ?
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Pour signer mon grand retour au cinéma en 2018, j’ai voulu miser sur une valeur sûre. Quoi de mieux que le nouveau Martin McDonagh ?
Après avoir été déçu par The Defenders, je comptais donc sur Frank Castle alias le Punisher pour finir l’année super-héroïque 2017 en beauté.
Strangers Things 2 marque une évolution à la Aliens en nous livrant un nouveau monstre vraiment stylé. Mais le cœur du show est inchangé.
47 Meters Down est une aventure plutôt mouillée et dangereuse. Lisa et sa sœur Kate vont nous le faire découvrir à leurs dépens.
Après le catastrophique La Tour Sombre, je craignais cette nouvelle adaptation de Stephen King. Finalement, Il est (bien) revenu.
La saison de la maturité pour Game of Thrones. Il est fini le temps de jouer avec les chaises, la Grande Guerre a désormais commencé.
Je l’attendais comme l’apothéose des séries Marvel/Netflix, mais finalement, The Defenders se révèle être la série que j’ai le moins aimé.
La déception procurée par L’Affrontement étant encore vivace, c’était avec crainte que je guettais La Planète des Singes: La Suprématie.
Grave est la preuve qu’il est possible de faire des bons films d’horreur en France sans pour autant devenir une série B ridicule.
J’avais quitté Nacho Vigalondo sur un très bon Timecrimes et ses délires de voyage dans le temps. Je le retrouve avec Colossal.