Critique : Nobody
Si seulement plus de films d’action étaient comme ça. Structurellement proche de John Wick, Nobody est juste énorme.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Si seulement plus de films d’action étaient comme ça. Structurellement proche de John Wick, Nobody est juste énorme.
Quand j’ai appris que Netflix avait annulé son premier joyau de sa couronne des adaptations du Millarworld, je n’ai pas été surpris. CQFD.
N’ayant pas vu la trilogie Les Petits Champions, je ne m’attendais à rien de la série. Finalement, je me suis bien amusé.
Partant sur un pitch similaire à celui de l’excellent Buried, Oxygène s’oriente finalement (et tant mieux) vers d’autres directions.
J’ai lancé le film en m’attendant à un ersatz d’Alien, le huitième passager. Pas du tout. Au contraire, le sujet est très sérieux.
Je vais être un peu rude, mais j’ai été déçu par ce dernier épisode. Si l’action est cool, elle n’arrive jamais vraiment à s’envoler.
Le calme avant la tempête. Voilà comment on pourrait qualifier cet épisode. Bon ok, il y a une petite tempête tout de même.
Sans aucun doute, le meilleur épisode jusqu’ici. Moins porté sur l’action que d’habitude, il prend le temps d’étoffer Morgenthau et Walker.
Un épisode consacré aux retrouvailles. Celle avec Zemo m’a éclaté bien comme il faut, mais le reste m’a un peu déçu.
Après un démarrage tranquille, Falcon et le Soldat de l’Hiver monte d’un cran. La machine est maintenant en route.