Critique : The Incredible Burt Wonderstone
Le blockbuster de la comédie, The Incredible Burt Wonderstone, s’est ramassé la gueule au box-office américain. Pourtant, c’est drôle.
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Le blockbuster de la comédie, The Incredible Burt Wonderstone, s’est ramassé la gueule au box-office américain. Pourtant, c’est drôle.
Tina Fey est une grande actrice comique américaine, elle s’est démarquée grâce au SNL et sa sitcom 30 Rock. Fan, j’ai donc maté Admission.
Monstres et Cie était le 4ème film Pixar et la preuve que Pixar était capable de faire autre chose que des Toy Story. 12 ans après, la suite.
Vu l’énorme surprise du film avec Gru, le mec vraiment moche mais pas méchant et sa horde de minions, une suite n’est pas surprenante.
Avec le casting de My Movie Project, on pouvait s’attendre à un truc énorme, l’équivalent des The Theatre Bizarre et V/H/S de la comédie.
J’ai envie de détester Struck pour pouvoir le troller à mort mais Chris Colfer m’a mis dans la merde en écrivant un bon film. Salaud, va !
Après avoir dispensé un cours pour apprendre à tuer son boss (mémorable grâce à son casting), Seth Gordon remet ça pour apprendre à arnaquer.
Après avoir amassé un milliard au box-office, la Meute est de retour pour son chant du cygne. Pour un trou noir encore plus énorme ?
Paul Andrew Williams s’est distingué avec des films d’horreur. Le voir signer un feel-good movie a de quoi surprendre…
Ça faisait longtemps que je ne m’étais pas fait un film parodique. Faut dire que le genre est tombé dans le grand n’importe quoi.