Critique : Yakuza : Like a Dragon
Enfin un Yakuza traduit en français. En plus, la saga sort de ses rails pour nous proposer une formule à la Dragon Quest. Je dis banco !
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Enfin un Yakuza traduit en français. En plus, la saga sort de ses rails pour nous proposer une formule à la Dragon Quest. Je dis banco !
Reposant sur le principe de la boucle temporelle, Joe Carnahan balance un gros film d’action bourré d’humour et d’ingéniosité.
Après l’excellent Dolemite is my name, le duo Eddie Murphy / Craig Brewer remet ça pour donner une suite au culte Un prince à New York.
WandaVision était une série jouant tellement avec nos attentes que la voir revenir à des rails plus classiques a de quoi décevoir légèrement.
Quel épisode ! Quel épisode ! Ouais, je sais, je me répète, mais mince, quel épisode ! Mon préféré de la saison, de loin devant les autres.
Malgré un début prometteur et une Rosamund Pike façon Gone Girl comique, plus on avance dans I Care a Lot, plus ça devient n’importe quoi.
Palm Springs lorgne sur le territoire du culte Un jour sans fin en étant une comédie romantique impliquant une boucle temporelle.
Flora & Ulysse m’a marqué par ses nombreuses références geeks. Malheureusement, ça n’a pas suffit pour masquer à mes yeux un récit banal.
Avec ce problème de rythme hérité de l’épisode précédent, WandaVision se part tout de même d’un bel hommage et d’excellents moments.
J’étais tellement persuadé que c’était une daube que je m’étais préparé à écourter la séance au plus vite. Impossible. Je me suis fait pécho.