Critique : Cruella
Alors que je m’attendais à un film moyen, j’ai été soufflé par Cruella. Toutes les cases pour une bonne histoire d’origine sont cochées.
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Alors que je m’attendais à un film moyen, j’ai été soufflé par Cruella. Toutes les cases pour une bonne histoire d’origine sont cochées.
Au loin de jouer sur le côté fantastique de Luca, Pixar reste focus sur l’histoire d’une amitié d’été dans un cadre italien paradisiaque.
Pas un grand Disney, mais un film d’aventure familial efficace reposant sur des codes certes classiques mais faisant toujours mouche.
N’ayant pas vu la trilogie Les Petits Champions, je ne m’attendais à rien de la série. Finalement, je me suis bien amusé.
Évidemment, chaque fan de la série Friends se doit de regarder cette émission spéciale. Rien que pour la nostalgie.
Quand le studio derrière Robot Chicken fait une série Marvel, le cœur de votre serviteur chavire. Surtout que Patton Oswalt est impliqué.
Une saison plus courte, avec moitié moins d’épisodes par rapport à la première. Néanmoins, si ça permet d’avoir des courts-métrages plus tôt.
Je ne m’attendais à rien et j’ai pris une manchette sur le larynx, un coup au plexus et un swing droit sur le service trois-pièces.
Je m’attendais à une comédie horrifique plus réussie dans sa partie comédie romantique que dans l’horreur, mais c’est l’inverse qui se passe.
Si le pitch m’avait excité, j’aurais dû me renseigner plus, car il s’agit d’une réalisation de Melissa McCarthy avec son mari Ben Falcone.