Critique : Neymar : Le chaos parfait
Plus un produit marketing qu’un véritable docu, Neymar : Le chaos parfait vaut le coup d’œil comme on regarde la page wiki d’un sportif.
Plus un produit marketing qu’un véritable docu, Neymar : Le chaos parfait vaut le coup d’œil comme on regarde la page wiki d’un sportif.
On est bien plus proche d’un Anelka: L’Incompris que le chef d’œuvre The Last Dance. Un documentaire d’une heure et demi façon Wikipédia.
Dans Mank, Louis Mayer dit qu’une bonne œuvre doit prendre à la tête, au cœur et aux couilles. David Fincher en touche deux sur trois.
Marvelll a ajouté Clouds dans sa liste des films qu’il ne reverra jamais car ça fait trop chialer. Aux côtés du Tombeau des Lucioles.
Pour son Endgame, Ip Man part en voyage aux States pour lutter à nouveau contre le racisme et l’injustice grâce à sa maîtrise de la bagarre.
Pas un biopic sur la vie de Capone, mais sur ses derniers jours alors qu’il sombre dans la folie. Bref, un film stylé mais soporifique.
Une histoire vraie ne consistant pas à découvrir la vie de monsieur Rogers mais plutôt à vivre l’expérience d’une de ses leçons
Je l’ai vu avec l’intention de ne pas laisser une larme couler. Mission réussie, ce n’est pas une larme qui a coulé, mais une dizaine.
Le Mans 66 est un film hollywoodien classique mais d’une efficacité redoutable. Surtout quand on pénètre au sein des véhicules.
Grâce à Dolemite Is My Name, Eddie Murphy signe un joli come-back au premier plan avec une histoire vraie et fun concernant Rudy Ray Moore.