Critique : Les Mitchell contre les machines
Je ne m’attendais à rien et j’ai pris une manchette sur le larynx, un coup au plexus et un swing droit sur le service trois-pièces.
Je ne m’attendais à rien et j’ai pris une manchette sur le larynx, un coup au plexus et un swing droit sur le service trois-pièces.
Un bon film m’ayant marqué par son propos adulte (le Pixar le plus mature jusqu’ici) et sa représentation du monde abstrait.
Le Disney+ Original est un récit sympathique grâce à son idée de voyage dans le temps permettant des combinaisons de personnages improbables.
Un film familial classique porté par un excellent Bryan Cranston et une galerie d’animaux à la fois criants de réalisme et attachants.
Après Crisis Jung, encore une perle par Bobbypills. On part en voyage vers un nouvel univers entre 1001 Pattes et Zootopie, mais hardcore.
Crisis Jung est un animé made in France totalement taré se réappropriant les codes des animés japonais époque Club Dorothée.
Cette anthologie animée calibrée dans un registre fantastique/science-fiction permet de découvrir 18 histoires dont chacune vaut le détour.
Spider-Man : New Generation est coupé en deux. La première multiplie les clins d’œil aux fans. La seconde est une simple origin story.
Ce cher One Punch Man me faisait de l’œil. Pourtant, je n’ai pas vu un anime depuis le lycée. J’ai bien fait de m’y mettre.
Le combo adaptation du jeu Castlevania + légende des comics au scénario + quatre épisodes de 25 minutes m’a convaincu de tenter la série.