Critique : Black Widow (sans spoilers)
Un simple petit film d’action Marvel pour dire au revoir à Black Widow ? C’est ce que je pensais avant d’avoir été agréablement surpris.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
Un simple petit film d’action Marvel pour dire au revoir à Black Widow ? C’est ce que je pensais avant d’avoir été agréablement surpris.
Plus spectaculaire que d’habitude avec un climax assez génial. Malgré tout, on est davantage dans un épisode intermédiaire.
Après Locke & Key et Jupiter’s Legacy, j’ai lancé Sweet Tooth sans grande espérance. Eh ben, je n’ai pas été déçu du voyage.
Une extension fort sympathique d’une durée tournant autour de 6 heures autour d’un personnage plutôt marrant. De quoi patienter.
Après une excellente entrée en matière nous invitant à découvrir un tout nouvel univers, ce deuxième épisode s’attache à poser les enjeux.
En faisant un remake du film Le convoyeur (2004), Guy Ritchie nous fait un James Cameron en mode La totale ! (1991) => True Lies (1994).
Pour son grand retour après une évasion remarquée dans Avengers: Endgame, on peut dire que Loki était attendu au tournant.
Si seulement plus de films d’action étaient comme ça. Structurellement proche de John Wick, Nobody est juste énorme.
Pas un grand Disney, mais un film d’aventure familial efficace reposant sur des codes certes classiques mais faisant toujours mouche.
Quand j’ai appris que Netflix avait annulé son premier joyau de sa couronne des adaptations du Millarworld, je n’ai pas été surpris. CQFD.