Critique : Je veux juste en finir
La narration et la photographie maîtrisées à la perfection m’ont emmené pour un voyage dont je me souviendrais longtemps.
La narration et la photographie maîtrisées à la perfection m’ont emmené pour un voyage dont je me souviendrais longtemps.
Après sa balade dans une galaxie très lointaine, Rian Johnson décide de revenir sur Terre pour se faire une partie de Cluedo avec À couteaux tirés.
Difficile d’être surpris par Velvet Buzzsaw tant les codes du slasher sont respectés. Néanmoins, le film offre un cadre et une origine rafraichissants.
Vin Diesel démarre l’année très fort avec un Donnie Yen avec une tonalité très X dans les noms respectifs de leurs personnages. Film à voir avec légèreté
Le premier xXx était sympa. Sa suite avec Ice Cube moins. Quoiqu’il en soit, Xander Cage a été réactivé et annonce un sacré délire : xXx: REACTIVATED.
Quand les images du film sont sorties, j’ai été intrigué. Puis, quand l’affiche est tombée, ça a été le coup de foudre. Le nouveau Gremlins est arrivé !
J’adore quand ça arrive. D’avoir des films où tu ne t’attends à rien puis tu tombes sur la bande-annonce, tu la regardes et c’est le coup de foudre.
C’est avec une tendresse particulière que j’ai regardé All About Albert, car il s’agit du dernier film de James Gandolfini, à jamais Tony Soprano dans nos cœurs.
Jim Rash et Nat Faxon, auréolés d’un Oscar en 2012 pour le scénario de The Descendants avec George Clooney, décident de passer à la réalisation.
Décidément, c’est la mode des biopics ne racontant pas toute la vie de l’illustre personnalité auxquels ils s’attachent mais seulement une portion.