Critique : Love, Death + Robots – Saison 4
Pour moi, il s’agit de la moins bonne saison de Love, Death + Robots. En effet, aucun épisode, sauf Conversion en altitude, n’est étonnant.
Pour moi, il s’agit de la moins bonne saison de Love, Death + Robots. En effet, aucun épisode, sauf Conversion en altitude, n’est étonnant.
Après Love, Death + Robots, Tim Miller remet ça dans l’univers des jeux vidéo, et c’est une excellente réussite avec quinze épisodes.
Sans surprise, l’adaptation ciné du jeu vidéo Borderlands n’est pas bonne. Ce n’est pas comme si tout le monde ne l’avait pas déjà dit.
Après m’avoir légèrement déçu sur sa saison 2, j’ai trouvé que Love, Death + Robots a repris du poil de la bête et livré sa meilleure saison.
Une saison plus courte, avec moitié moins d’épisodes par rapport à la première. Néanmoins, si ça permet d’avoir des courts-métrages plus tôt.
Je m’attendais à être déçu par Terminator : Dark Fate comme je l’avais été par les autres suites. Heureusement, la réalité est autre.
Wooooooow ! C’est énorme. J’ai vraiment eu l’impression de revoir un Terminator de la vieille époque avec une course-poursuite non stop.
Après Deadpool et le génial Love, Death + Robots, Tim Miller nous livre en octobre le prochain Terminator où on retrouve James Cameron.
Cette anthologie animée calibrée dans un registre fantastique/science-fiction permet de découvrir 18 histoires dont chacune vaut le détour.
Pour incarner le nouveau visage du Terminator dans la suite réalisée par Tim « Deadpool » Miller, l’équipe a été chercher du côté de Marvel.