Critique : Borderlands
Sans surprise, l’adaptation ciné du jeu vidéo Borderlands n’est pas bonne. Ce n’est pas comme si tout le monde ne l’avait pas déjà dit.
Sans surprise, l’adaptation ciné du jeu vidéo Borderlands n’est pas bonne. Ce n’est pas comme si tout le monde ne l’avait pas déjà dit.
Après m’avoir légèrement déçu sur sa saison 2, j’ai trouvé que Love, Death + Robots a repris du poil de la bête et livré sa meilleure saison.
Une saison plus courte, avec moitié moins d’épisodes par rapport à la première. Néanmoins, si ça permet d’avoir des courts-métrages plus tôt.
Je m’attendais à être déçu par Terminator : Dark Fate comme je l’avais été par les autres suites. Heureusement, la réalité est autre.
Wooooooow ! C’est énorme. J’ai vraiment eu l’impression de revoir un Terminator de la vieille époque avec une course-poursuite non stop.
Après Deadpool et le génial Love, Death + Robots, Tim Miller nous livre en octobre le prochain Terminator où on retrouve James Cameron.
Cette anthologie animée calibrée dans un registre fantastique/science-fiction permet de découvrir 18 histoires dont chacune vaut le détour.
Pour incarner le nouveau visage du Terminator dans la suite réalisée par Tim « Deadpool » Miller, l’équipe a été chercher du côté de Marvel.
On apprend que James Cameron se prépare à revenir sur la franchise Terminator et qu’il serait en négociation avec le réalisateur de Deadpool.
L’histoire d’un improbable échange de bons procédés entre Marvel et la Fox. En bonus, Ryan Reynolds revient sur le départ de Tim Miller.