Critique : Bullet Train
Un petit bijou survitaminé reposant sur un scénario malin et des scènes d’action lorgnant de très près le style de Jackie Chan.
Un petit bijou survitaminé reposant sur un scénario malin et des scènes d’action lorgnant de très près le style de Jackie Chan.
En refaisant À la poursuite du diamant vert avec un soupçon du Magnifique de Bébel, j’imaginais un bon film d’aventure. Malheureusement, non.
On prend son ticket, on ne parle pas au chauffeur et je ne mets pas de point excepté celui-là. Aujourd’hui, c’est (en) Speed.
On prend son neutraliseur, son rat-burger et ses trois coquillages. Aujourd’hui, on part en 2032 pour Demolition Man.
La question qu’on se pose tous, c’est si passer de sidekick à héros n’est pas une marche trop haute pour ces créatures hautes comme 3 pommes.
Vendu comme le film de l’année, voire du siècle, Gravity marque le retour du génie Alfonso Cuarón, 7 ans après Les Fils de l’homme.
Après un déluge de rire avec son Mes Meilleures Amies, Paul Feig était particulièrement guetté pour son prochain film. Confirmation ?
Extrêmement fort et incroyablement près est un film bourré de clichés, naïf et ouvertement humaniste pourtant la sauce prend.
La chose dont je ne me lasse jamais, c’est cette utopie où on ne peut plus dire de gros mots sous peine de prendre une amende.