Critique : Bright
Netflix a enfin sorti son blockbuster : trois millions de dollars pour le scénario et 90 millions pour David Ayer.
Netflix a enfin sorti son blockbuster : trois millions de dollars pour le scénario et 90 millions pour David Ayer.
Le prologue La Traversée, qui ne sera pas dans Alien: Covenant, raconte ce qui est arrivé à Elizabeth Shaw et David après Prometheus.
La nouvelle réalisation de Michaël R. Roskam promet de belles choses. Un joli casting et un scénario signé Dennis Lehane (Shutter Island).
Ah là, là, alors qu’on se dit que le marketing français ne pourra plus nous surprendre, voilà qu’il frappe encore un gros coup.
Visuellement, c’est magnifique. « Sonoriquement », c’est splendide (VO indispensable). « Bonusiquement », c’est chargé.
La déception de Prometheus se situe au niveau qu’il nous était vendu comme étant le 2001, l’Odyssée de l’espace nouvelle génération.
Film d’atmosphère au rythme lent et à l’intensité digne d’un cent mètres d’un escargot, Babycall décevra les fans de film de frisson.
On ne change pas un équipe qui gagne et, pour cette suite, quasiment la totalité de l’équipe est conservée.
Le Millenium de Fincher succombe aux problèmes inhérents aux remakes américains à savoir une version légèrement plus édulcorée.