Critique : Le Diable, tout le temps
Un conte gothique superbement narré et interprété nous montrant les pires côtés de l’humanité. Sur fond de religion. Un cocktail mémorable.
Un conte gothique superbement narré et interprété nous montrant les pires côtés de l’humanité. Sur fond de religion. Un cocktail mémorable.
Alors là, celui-là, je ne vais pas le rater. Déjà, parce qu’il y a un casting exceptionnel, mais en plus, la bande-annonce, quelle claque.
Crimson Peak était un de mes films les plus attendus. Au final, il s’agit de ma plus grande déception et mon plus mauvais del Toro.
Malgré ses derniers films moyens, Cronenberg a son aura. À chaque nouveau projet, il y a un espoir de voir David faire du grand Cronenberg.
Pour Only Lovers Left Alive, Jim Jarmush réunit le dieu Loki et l’extra-terrestre Tilda Swinton pour un truc surfant sur Twilight façon indé.
Pour sa première réalisation américain, Park Chan-wook n’a pas eu le même succès que son compatriote Kim Jee-woon avec Le Dernier Rempart.
Des hommes sans loi, malgré son casting bankable, est surtout le nouveau film de John Hillcoat, derrière l’excellent La Route.
Avec le film du jour, Jane Eyre, le roman de Charlotte Brontë connaît sa vingtième adaptation cinématographique/télévisuelle.
Ce film est une belle histoire d’amour préférant se tourner davantage vers l’intime plutôt que de multiplier les procédés artificiels.
En revisitant le mythe de Roméo et Juliette, Gus Van Sant nous livre un film touchant et sensible doté d’une belle réflexion face à la mort.