Critique : Fast & Furious X
Ça me semblait difficile de faire pire que le 9. Heureusement, le X n’y arrive pas. Mais ce n’est pas beaucoup mieux non plus.
Ça me semblait difficile de faire pire que le 9. Heureusement, le X n’y arrive pas. Mais ce n’est pas beaucoup mieux non plus.
Fast & Furious 8 vire au sentimental sombre. On parle de Brian, mais on arrive à avancer en son absence et Vin en méchant, c’est touchant
Tout change dans cette bande-annonce de plus de trois minutes. C’est fou quand même, ça. Déjà plus de trois minutes.
L’épisode de la saga qui cristallise le plus d’attentes. Trop même ? En balançant une telle punchline, je ne pense pas me tromper.
12 ans après Fast & Furious, nous accueillons un nouvel épisode. Difficile à croire que cette saga a été capable de tenir plus de 5 épisodes.
Le premier bénéficiait d’un Vin Diesel au sommet de sa forme, le deuxième était moyen en effet sans Vin, c’était un peu faire Rambo sans Sly.
Critique du film d’Ivan Reitman (la légende vivante) avec Natalie Portman (qui chauffe avec Black Swan) et Ashton Kutcher (j’y reviendrais).