Critique : Cyberpunk 2077 : Phantom Liberty
À la manière de Blood & Wine pour The Witcher 3, Phantom Liberty est une extension indispensable pour Cyberpunk 2077.
À la manière de Blood & Wine pour The Witcher 3, Phantom Liberty est une extension indispensable pour Cyberpunk 2077.
Pour définir John Wick : Chapitre 4, je vais emprunter les mots du Baron Zemo : « C’est un chef d’œuvre, James. Total. Immense. ». *mic drop*
Alors, on prend ses lunettes de soleil ringardes, son manteau noir et un maximum d’armes. Aujourd’hui, c’est la saga Matrix. Oui, les 4.
À Hollywood, très souvent, il vaut mieux laisser le passé là où il est et, malheureusement, Matrix Resurrections n’échappe pas à la règle.
Après la déception provoquée par la première bande-annonce, j’avoue que je ne me suis pas précipité pour lancer la deuxième…
Alors, on prend son masque de président, sa planche et son parachute. Aujourd’hui, c’est Point Break. L’original.
Presque vingt ans après Matrix Revolutions, on va avoir droit à un nouveau Matrix. Ce qui paraissait improbable prend désormais vie.
On prend son ticket, on ne parle pas au chauffeur et je ne mets pas de point excepté celui-là. Aujourd’hui, c’est (en) Speed.
On prend ses dents, son pieu en bois et ses gousses d’ail. Aujourd’hui, c’est Dracula. Celui de Francis Ford Coppola.
Aucun bug n’aura réussi à entacher l’amour que j’ai pour lui. Cyberpunk 2077 est un de mes jeux préférés de tous les temps.