Critique : De l’univers de John Wick : Ballerina
Avec Ballerina, John Wick s’offre son premier spin-off cinématographique. Mais, sans être raté, le le film n’est pas à la hauteur.
Avec Ballerina, John Wick s’offre son premier spin-off cinématographique. Mais, sans être raté, le le film n’est pas à la hauteur.
Si vous aimez John Wick et les cascades, Il était une fois John Wick est le documentaire/making-of à absolument ne pas manquer.
Severance est assurément l’une des meilleures séries actuelles. Cette deuxième saison confirme que la première n’était pas un heureux hasard.
C’est épatant de voir à quel point l’adaptation ciné de Sonic a été maîtrisée avec cet excellent troisième épisode.
Après Love, Death + Robots, Tim Miller remet ça dans l’univers des jeux vidéo, et c’est une excellente réussite avec quinze épisodes.
À la manière de Blood & Wine pour The Witcher 3, Phantom Liberty est une extension indispensable pour Cyberpunk 2077.
Pour définir John Wick : Chapitre 4, je vais emprunter les mots du Baron Zemo : « C’est un chef d’œuvre, James. Total. Immense. ». *mic drop*
Alors, on prend ses lunettes de soleil ringardes, son manteau noir et un maximum d’armes. Aujourd’hui, c’est la saga Matrix. Oui, les 4.
À Hollywood, très souvent, il vaut mieux laisser le passé là où il est et, malheureusement, Matrix Resurrections n’échappe pas à la règle.
Après la déception provoquée par la première bande-annonce, j’avoue que je ne me suis pas précipité pour lancer la deuxième…