Critique : Les Sept de Chicago
Netflix commence à avoir un catalogue fourni de bons films et Les Sept de Chicago en fait partie. Quoi d’étonnant de la part de Sorkin.
Netflix commence à avoir un catalogue fourni de bons films et Les Sept de Chicago en fait partie. Quoi d’étonnant de la part de Sorkin.
Project Power fait ce qu’on lui demande. De la série B pure profitant de son sujet pour aller loin dans le délire au rayon des pouvoirs.
Voilà un nouveau film de Netflix avec Jamie Foxx et Joseph Gordon-Levitt au casting. Framboise sur le gâteau, ça parle de super-héros.
Si vous n’avez que vaguement entendu parler d’Edward Snowden et du scandale derrière, le nouveau film d’Oliver Stone est pour vous.
Alors que McFly et Doc Brown débarquent pour constater l’absence de voitures volantes, Bob Zemeckis livre sa nouvelle réalisation.
Fan de Sin City (vu trois fois au cinéma), j’étais impatient de revenir dans la ville du vice et du péché… Oh, Sin City, tu m’as manqué…
Pas une comédie romantique, mais le journal d’un accro au porno. Don Jon fait partie de ces films si surprenants donc jubilatoires.
Lincoln et Spielberg, c’est une histoire qui remonte à des années. Le papa d’E.T. a toujours été fasciné par le président.
Renommé bizarrement pour sa sortie en DVD/Blu-ray en Course contre la mort. Un titre beaucoup moins fun que Premium Rush et laissant envisager un DTV pourri, il est tout le contraire.
Les Loopers sont chargés de faire disparaître les cadavres du futur. Tout se passe bien pour Joe jusqu’au jour où il doit tuer son futur soi.
Vendu comme un film d’action sympathique, Premium Rush est comme prévu… un film d’action sympathique. Comme Cliffhanger.
The Dark Knight Rises devait être la conclusion épique de ce que l’on appelle désormais la trilogie Nolan.