Critique : Blue & Compagnie
Quel curieux film, ce Blue & Compagnie ! Pendant les deux tiers, je me suis ennuyé, mais le miracle arrive dans le dernier tiers.
Quel curieux film, ce Blue & Compagnie ! Pendant les deux tiers, je me suis ennuyé, mais le miracle arrive dans le dernier tiers.
Si No Way Home m’a mis au sol, Doctor Strange m’a molesté à grand coup de pieds dans les côtes, comme s’il voulait me piquer mon goûter.
Difficile de résumer une critique tenant sur quatre pages dans Word. Du coup, je dirais juste : lisez la critique.
John Krasinski confirme qu’il est un réalisateur à suivre en pondant, avec Sans un bruit 2, une suite du même acabit que le premier.
L’ennemi juré de Dwight Schrute (John Krasinski) rempile à la réalisation et au scénario pour signer la suite de son premier film.
On pourrait vendre Sans un bruit comme une copie de Tremors avec du son au lieu des vibrations. Seulement, le film est bien plus que ça.
Promised Land est un projet correspondant à l’image qu’on a de Matt Damon. L’acteur né dans le Massachusetts est un militant engagé.
Miracle en Alaska bénéficie de son histoire vraie pour émouvoir. Par contre, difficile de ne pas lui reprocher un scénario indigeste.
Souvent ce genre de comédie ne traverse pas la douane française à cause d’un humour difficilement importable mais ce n’est point le cas ici…