Critique : Obi-Wan Kenobi (avec spoilers)
Obi-Wan Kenobi a deux grands épisodes. Le premier et le dernier. Au milieu, des épisodes sympathiques sans plus.
Obi-Wan Kenobi a deux grands épisodes. Le premier et le dernier. Au milieu, des épisodes sympathiques sans plus.
Parce que journée Star Wars et sortie dans trois semaines, Obi-Wan Kenobi dévoile une nouvelle bande-annonce avec vous savez qui.
Allez, les amis, on prend notre sabre-laser, il est temps de retourner sur Tatooine, à peine quelques semaines après l’avoir quitté.
Netflix a enfin sorti son blockbuster : trois millions de dollars pour le scénario et 90 millions pour David Ayer.
It Comes at Night a débarqué dans les salles françaises précédé d’une jolie réputation. Donc j’y suis allé sans faire attention.
Dès sa première image, Midnight Special m’avait envoûté. « Il n’est pas comme nous », proclame l’affiche. Mais qui est donc ce jeune garçon ?
Baz Luhrmann, c’est Roméo + Juliette, Moulin Rouge et Australia. Cette fois-ci, il retourne à ses premiers amours : une adaptation et Leo.
J’ai un peu de mal à savoir sur quel pied danser avec ce film. S’agit-il d’un documentaire ? S’agit-il d’un film ? Un peu des deux à la fois?
Vu que c’était mon film préféré de l’année 2011, c’était avec une certaine inquiétude que j’ai inséré le film dans le lecteur blu-ray.
La bande annonce ne laissait présager rien de bon mais je voulais tout de même laisser une chance à ce film surtout vu que l’original avait réussi à me traumatiser.
L’émotion est le cœur du film grâce à un trio d’acteurs exceptionnels Hardy/Edgerton/Nolte. Sans oublier, des combats dantesques.
Tu étais protégé par les forts. Seulement à présent, ils ne le sont plus. Au lieu de nous proposer une énième resucée de Heat, Animal Kingdom va plus loin.