Critique : NieR:Automata
En 2010 sortait sur PlayStation 3, une œuvre marquante avec un gameplay rendant vite accro. 7 ans plus tard, sa suite : NieR:Automata.
En 2010 sortait sur PlayStation 3, une œuvre marquante avec un gameplay rendant vite accro. 7 ans plus tard, sa suite : NieR:Automata.
Fan inconditionnel de la trilogie, Mass Effect Andromeda qui prenait une autre orientation m’intriguait et dès sa sortie, je l’ai acheté.
Après un développement pour le moins chaotique et un très bon film, Final Fantasy XV est enfin sorti. Valait-il cette longue attente ?
La première fois que je suis tombé sur World of Final Fantasy, je m’étais alors demandé que c’était ce truc complètement ridicule ?
Quand je l’ai découvert, je me suis dit : c’est un jeu pour moi ! Il faut dire que je déplorais la mort du jeu de rôle à l’ancienne.
Je n’ai rien suivi de l’actualité de ce nouvel épisode de FFXIII. À tel point que j’ai été surpris de le voir dans les bacs.
La suite du jeu phénomène arrive… et alors, c’est bien ou pas ? C’est toujours aussi répétitif ? Ou ça défoule ?
Quand on adapte un livre aussi populaire et surtout une série reconnue mondialement en jeu vidéo, on s’expose à de sérieux risques.
Quand on joue à Diablo 3, le monde se met sur pause et ça, c’est la marque des très grand jeux. Le premier Hack’n Slash à me captiver.
Épique, il n’y a pas d’autre mot pour définir Mass Effect 3 qui réussit dans tous les domaines exceptés les graphismes un peu vieillot.