Critique : 30 minutes maximum
Si 30 minutes maximum déclare son amour au genre, contrairement à Zombieland, il n’arrive jamais vraiment à les égaliser.
Si 30 minutes maximum déclare son amour au genre, contrairement à Zombieland, il n’arrive jamais vraiment à les égaliser.
Un film sympa qui vous détaillera le dessous de cet énorme trafic d’ecstasy qui s’est déroulé entre 1998 et 1999.
Un chef d’œuvre qui nous plonge dans les univers impitoyables d’Harvard et du net tout en évitant tout pathos (vu dans Wall Street 2).