Critique : Oppenheimer
Depuis Inception, je n’arrive plus à accrocher au cinéma de Nolan. Malheureusement, ce ne sera toujours pas le cas avec Oppenheimer.
Depuis Inception, je n’arrive plus à accrocher au cinéma de Nolan. Malheureusement, ce ne sera toujours pas le cas avec Oppenheimer.
On prend ses dents, son pieu en bois et ses gousses d’ail. Aujourd’hui, c’est Dracula. Celui de Francis Ford Coppola.
Dans Mank, Louis Mayer dit qu’une bonne œuvre doit prendre à la tête, au cœur et aux couilles. David Fincher en touche deux sur trois.
Avec l’excellent reboot, La Planète des Singes est redevenue une saga à la mode. Avec Matt Reeves, L’Affrontement doit confirmer.
Après Total Recall et avant Starship Troopers, un nouveau film de Verhoeven passe à la moulinette remake/reboot. Pour le meilleur ou le pire ?
RoboCop a connu un tournage tourmenté que José Padilha a raconté à son ami Meirelles via les mots suivants : c’est l’enfer ici. Ambiance !
Des hommes sans loi, malgré son casting bankable, est surtout le nouveau film de John Hillcoat, derrière l’excellent La Route.
The Dark Knight Rises devait être la conclusion épique de ce que l’on appelle désormais la trilogie Nolan.
Le film d’espionnage n’est pas mort, loin de là, et il trouve avec La Taupe un de ses meilleurs représentants si ce n’est le meilleur.
La deuxième aventure de Po est en tout point supérieure au premier reniant l’adage disant que le premier est toujours le meilleur…