Critique : Love, Death + Robots – Saison 3
Après m’avoir légèrement déçu sur sa saison 2, j’ai trouvé que Love, Death + Robots a repris du poil de la bête et livré sa meilleure saison.
Après m’avoir légèrement déçu sur sa saison 2, j’ai trouvé que Love, Death + Robots a repris du poil de la bête et livré sa meilleure saison.
Une saison plus courte, avec moitié moins d’épisodes par rapport à la première. Néanmoins, si ça permet d’avoir des courts-métrages plus tôt.
Dans Mank, Louis Mayer dit qu’une bonne œuvre doit prendre à la tête, au cœur et aux couilles. David Fincher en touche deux sur trois.
Cette anthologie animée calibrée dans un registre fantastique/science-fiction permet de découvrir 18 histoires dont chacune vaut le détour.
Fede Alvarez sur Millénium 2, la suite du remake de David Fincher, qui sera l’adaptation du quatrième volume de la saga et sur Don’t Breathe 2.
Fincher est de retour avec Ben Affleck et Rosamund Pike pour une adaptation d’un roman où l’auteure pensait à lui quand elle l’a écrit.
L’édition blu-ray est soignée niveau packaging, un boitier en carton avec une simple notification en bas à droite pour savoir qu’il s’agit d’un blu-ray.
Tout le monde a été surpris de voir David Fincher s’aventurer dans les étroits et dangereux sentiers du remake d’un film lui-même adapté d’un bouquin.
À sa sortie, le film a remué les foules. Je me rappelle l’avoir visionné sur ma petite télé dans ma chambre avec une antenne pourrie. Cela renforçait son ambiance malsaine.
Critique du premier film de Kevin Asch (un peu d’asthme) avec Jesse Eisenberg, le génie qui a créé Facebook dans le film de David Fincher.
Après 2 semaines d’abstinence à cause de la grève. J’ai décidé d’emmener ma carte UGC illimité qui commençait à s’emmerder pour aller voir le nouveau film de David Fincher.