Critique : Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées – Version longue
Même si j’avais adoré Le Hobbit: La Bataille des Cinq Armées, il avait des défauts. La version longue devrait les corriger. Vérifions.
Même si j’avais adoré Le Hobbit: La Bataille des Cinq Armées, il avait des défauts. La version longue devrait les corriger. Vérifions.
Après la bonne surprise Maléfique, relecture intelligente du mythe de La Belle au Bois Dormant, j’étais curieux de découvrir ce Cendrillon.
Tout s’achève ! Avec Le Hobbit: La Bataille des Cinq Armées, Peter Jackson boucle une saga qu’il tient tel Atlas depuis 1995.
Aujourd’hui, on va parler de la suite d’un des films d’animations surprises de 2010, Dragons. Alors suite à la hauteur ou vraie déception ?
Difficile de sortir satisfait de la séance de Monuments Men du fait de son sens du rythme parti au soleil avec l’humour et l’émotion.
Voir un Woody Allen, c’est jouer à pile ou face. Pile, ça serait excellent. Face bof. Alors pour Blue Jasmine, pile ou face ?
L’unique. Un anneau pour les gouverner tous. Un anneau pour les trouver. Un anneau pour les amener tous et dans les ténèbres, les lier.
Si Léon et Nikita avaient un enfant, elle s’appellerait Hanna. Le film tourne autour d’une fille élevée depuis sa naissance à tuer.