Critique : Le Passager nº4
J’ai lancé le film en m’attendant à un ersatz d’Alien, le huitième passager. Pas du tout. Au contraire, le sujet est très sérieux.
J’ai lancé le film en m’attendant à un ersatz d’Alien, le huitième passager. Pas du tout. Au contraire, le sujet est très sérieux.
Je m’attendais à m’endormir comme devant Les chroniques de Noël 2. Finalement, je me suis surpris à rire et à lâcher une petite larme.
Après m’avoir collé sur mon siège et fait frissonner comme jamais avec son Warrior, le prochain Gavin O’Connor m’intéressait.
Après avoir cartonné dans Pitch Perfect, les Bellas reprennent du service en se faisant une suite à la Rocky.
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, The Voices n’est pas l’adaptation en long-métrage de la pub du Crédit Mutuel avec le chien parlant.
Les comédies musicales ne sont pas mon trip, mais j’étais intrigué, car je voulais voir le résultat de la fusion de plusieurs univers Disney.
Une comédie romantique à l’américaine classique mais sympathique, sorte de cousin cinématographique de Glee.
Porté par un réalisateur et deux acteurs au sommet, End of Watch est une curiosité en plus d’être un film très puissant.
On passe un bon moment devant L’Étrange pouvoir de Norman, réussissant le pari de rendre hommage aux films d’horreurs old school.
Culte ! Époustouflant ! Magique ! Drôle ! Tous ces superlatifs définissent parfaitement le film et je pourrais en trouver d’autres.