Critique : Les Soprano
Comme toutes les séries HBO, Les Soprano démarre lentement mais sûrement pour arriver à leur apogée lors de la dernière saison.
Comme toutes les séries HBO, Les Soprano démarre lentement mais sûrement pour arriver à leur apogée lors de la dernière saison.
A Single Man est un de ces films d’une très grande sensibilité et d’une profonde humanité. Sa vision vous touchera et hantera, un signe des grands films.
Un mauvais Harry Potter dans la même lignée que le précédent. Ne reste plus qu’à espérer une deuxième partie qui se secoue un peu.
Un excellent drame historique ponctué de bons combats et mené par un énorme Donnie Yen. Un must-see. Vivement le 2.
Trois beaux sujet difficiles (l’amour, la famille et la guerre) nous donne un drame intimiste servi par un excellent trio d’acteurs.
PlatinumGames s’est fait une solide réputation avec Bayonetta qui était un mix des meilleurs Beat’m all. Son petit frère lorgne vers les TPS.
Le film arrive à nous passionner avec son duo David Duchovny et Demi Moore attachant et finit de façon surprenante.
Ce n’est pas tous les jours qu’on peut voir Bruce Willis, Morgan Freeman, Malkovich, Dreyfuss, Cox et Mirren ensemble.
Zach et Robert ne font pas un porno (j’avoue, elle était facile) mais une excellente comédie qui m’a bien fait poiler.
Un nouveau Castlevania est toujours synonyme d’évènements. J’insère le jeu dans la PS3, défile le logo de Kojima avec son célèbre renard.