Critique : World War Z
Depuis Walking Dead, les zombies sont redevenus à la mode et cela a donné naissance de World War Z, premier blockbuster du genre.
Depuis Walking Dead, les zombies sont redevenus à la mode et cela a donné naissance de World War Z, premier blockbuster du genre.
Lunettes de soleil, visage rougi par le soleil et insigne de police brillante. Il n’y a pas à dire, Woody Harrelson en impose sur l’affiche.
Star Trek Into Darkness a été l’occasion d’être ébloui par un nouveau méchant. Tellement classe que même les héros ne font pas le poids.
A l’occasion de la sortie du jeu vidéo Deadpool, on revient sur une de ses précédentes adaptations, X-Men Origins: Wolverine.
Deadpool est un des personnages les plus populaires chez Marvel mais il avait fort à faire pour conquérir un public international.
Pour fêter l’arrivée de l’été, j’ai pondu un article cassant la routine pour partager mes nouveaux colocataires tout en pixel…
Vu l’énorme surprise du film avec Gru, le mec vraiment moche mais pas méchant et sa horde de minions, une suite n’est pas surprenante.
Ce nouvel épisode n’ajoute rien à la mythologie de la tronçonneuse du texas sinon la 3D et Alexandra Daddario.
Avec le casting de My Movie Project, on pouvait s’attendre à un truc énorme, l’équivalent des The Theatre Bizarre et V/H/S de la comédie.
Contemplatif avec des personnages figés et aux réactions aberrantes. En dépit de qualités esthétiques, Only God Forgives est une déception.