Critique : A Plague Tale : Innocence
Traînant depuis un an sur ma pile de jeux, j’ai lancé A Plague Tale: Innocence sans conviction. Surprise, j’ai eu un véritable coup de cœur.
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Traînant depuis un an sur ma pile de jeux, j’ai lancé A Plague Tale: Innocence sans conviction. Surprise, j’ai eu un véritable coup de cœur.
Gros fan de la saga, j’ai pris un coup de nostalgie avec Streets of Rage 4. Toute ma jeunesse sur la Mega Drive.
Magnifique avec un superbe gameplay, il souffre toutefois d’une linéarité écrasante et d’un rythme trop étiré pour être à la hauteur.
Après 4 tentatives avec la saga Doom, je pensais qu’elle n’était pas pour moi. Mais j’ai insisté avec Eternal et j’en suis tombé amoureux.
Death Stranding est un jeu vidéo à part. Pas parfait, mais suffisamment riche et original pour offrir une aventure dont je me souviendrais.
Marvel est à la traîne par rapport à la Distinguée Concurrence au niveau des jeux vidéo. La tendance va-t-elle commencer à s’inverser ?
Quelle claque. Je suis resté époustouflé de début jusqu’à la fin. Detroit: Become Human est le jeu le plus abouti du studio parisien.
Après une trilogie parfaite, faire revenir God of War avait tout du pari risqué. Kratos étant au sommet du panthéon grec et vidéoludique.
La mode des remastered touche tout le monde. Toutefois, des studios font des efforts pour ajouter du contenu comme pour Odin Sphere.
En 2010 sortait sur PlayStation 3, une œuvre marquante avec un gameplay rendant vite accro. 7 ans plus tard, sa suite : NieR:Automata.